L'acceptation
Ces jours-ci, j'ai l'impression de toucher au bonheur. Je vis de beaux moments, et enfin, je suis capable d'en profiter sans penser au futur ou au passé, comme c'était le cas auparavant. J'ai trouvé un équilibre. Celui qui me permet d'être bien. La réduction de stress dans ma vie m'aide, ma très belle relation avec mon amoureux et le fait que je vois mes enfants plus souvent. Même si ce n'est pas parfait, en ce moment je peux vous dire que je suis bien.
C'est sûr, il y a déjà quelques années que ma santé n'est plus ce qu'elle était. C'est probablement le début de l'acceptation de ce que je pourrais appeler «ma nouvelle vie» qui aide à la cause. Je suis plus à l'écoute, je connais les signes alarmants et je sais quoi faire pour y remédier. C'est ce qui fait que j'arrive à tenir sur mon fil, sans trop basculer.
En ce moment je profite des points positifs de ma vie et j'apprends à vivre aussi avec les points négatifs. Je dors douze heures par jours. C'est ce que j'ai de besoin pour être capable de fonctionner et mon réveil est très lent. Pourtant, après ça je suis capable de profiter de ma journée. Je ne suis plus capable de mener vingt affaires de front comme auparavant, c'est pas grave, ce que je suis capable de faire, je le fais et j'en profite.
L'idée de regarder les autres et de me comparer ne me vient plus. Je sais que je ne peux pas faire comme eux. Je suis contente de faire ce que je fais, un point c'est tout. Ma vie est telle et je dois l'accepter comme elle est. Et je dois m'accepter comme je suis.
C'est pas du tout évident tout ça mais j'y arrive et j'en suis heureuse. Il m'a fallut accepter cette maladie et apprendre à l'apprivoiser. Je me doute que je commence à peine à la comprendre. Ce n'est que la pointe de l'iceberg. Mais je sais par contre qu'à partir d'aujourd'hui, ma vie sera plus facile car je cesse de lutter et j'accepte. Je ne fais plus la guerre, je vis avec. Je n'ai pas d'autres choix et ma vie sera plus facile ainsi.
C'est sûr, il y a déjà quelques années que ma santé n'est plus ce qu'elle était. C'est probablement le début de l'acceptation de ce que je pourrais appeler «ma nouvelle vie» qui aide à la cause. Je suis plus à l'écoute, je connais les signes alarmants et je sais quoi faire pour y remédier. C'est ce qui fait que j'arrive à tenir sur mon fil, sans trop basculer.
En ce moment je profite des points positifs de ma vie et j'apprends à vivre aussi avec les points négatifs. Je dors douze heures par jours. C'est ce que j'ai de besoin pour être capable de fonctionner et mon réveil est très lent. Pourtant, après ça je suis capable de profiter de ma journée. Je ne suis plus capable de mener vingt affaires de front comme auparavant, c'est pas grave, ce que je suis capable de faire, je le fais et j'en profite.
L'idée de regarder les autres et de me comparer ne me vient plus. Je sais que je ne peux pas faire comme eux. Je suis contente de faire ce que je fais, un point c'est tout. Ma vie est telle et je dois l'accepter comme elle est. Et je dois m'accepter comme je suis.
C'est pas du tout évident tout ça mais j'y arrive et j'en suis heureuse. Il m'a fallut accepter cette maladie et apprendre à l'apprivoiser. Je me doute que je commence à peine à la comprendre. Ce n'est que la pointe de l'iceberg. Mais je sais par contre qu'à partir d'aujourd'hui, ma vie sera plus facile car je cesse de lutter et j'accepte. Je ne fais plus la guerre, je vis avec. Je n'ai pas d'autres choix et ma vie sera plus facile ainsi.
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