Le menteur
Il est maintenant venu le temps de vous parler du menteur. Cet être qui n'a aucune confiance en lui et qui a peine à assumer ses actes, quoiqu'il en dise. Nous sommes dans une société où le mensonge est valorisé et où la vérité a peu ou pas sa place. Que doit-on faire de cette incohérence? Y a-t-il une place pour l'être vrai et authentique dans cette société?
Je dois d'abord vous avouer quelque chose. Je suis la pire des menteuses. En fait, je l'étais, il y a quelques années. Pourquoi je l'étais? Je me mentais à moi-même sur ce que j'étais. Je m'étais inventé un personnage et j'y croyais. Par le fait même, je mentais aux autres. Bien sûr, c'était inconscient. C'était ma façon à moi de m'adapter à la société. Pourtant, je prônais la vérité. Je n'étais pas consciente de la fausse vie dans laquelle je vivais. Je n'étais pas consciente que je jouais un personnage. Ce personnage, je le jouais tellement bien que j'y croyais. Jusqu'au jour où je me suis réveillé. Cet éveil a été extrêmement difficile. Vivre dans le mensonge est tellement facile en fait. Le faux semble souvent plus réel que la vérité elle-même. Le jour où je me suis réveillé, j'ai commencé à découvrir qui j'étais. Je me suis aperçue que j'étais plus intéressante et vivante que je le croyais. Depuis, j'ai appris à me découvrir, à me connaître, et j'ai trouvé de très belles choses en moi. J'en ai aussi trouvé de très vilaines. Par contre, ce que j'ai découvert de moi, c'est que j'existe. Je suis un être réel. Je vis dans ce monde et j'en fais parti. Bizarrement, j'ai maintenant plus de facilité à vivre dans ce monde. En sachant qui je suis et sachant aussi quelles sont mes faiblesses, il m'est plus facile de vivre en société. Je m'assume telle que je suis et au lieu de m'adapter à la société, j'adapte la société à moi. C'est-à-dire que je prends ce qui me va et je laisse ce qui ne me va pas. C'est un grand pas en avant car je ne me bute plus sur ce qui ne fonctionne pas. Résultat, la vie s'ouvre à moi. J'en vois la beauté et il m'est soudainement plus facile de vivre.
Par contre, j'ai découvert un défaut extrêmement grave. J'exige des autres la même chose que j'exige de moi-même. Je sais, je dois corriger ce défaut car il est très difficile à vivre. Cependant, je m'adapte à ce défaut en ne me mettant pas dans des situations où les autres pourraient me décevoir. Savoir s'entourer des bonnes personnes. Je disais hier à un de mes amis que la relation d'amitié que j'ai avec lui est plus importante que n'importe quelle relation avec n'importe quel amant ou amoureux, car lui, je suis certaine qu'il va rester dans ma vie. Les amis, la famille, il n'y a que ça de vrai. Pour moi du moins. On se confie à ces gens. On est dans la vérité car ils nous connaissent bien. J'ai des amies qui sont dans ma vie depuis 25-30 ans. Que je les vois souvent ou rarement, je sais qu'elles seront toujours-là et je serai toujours là pour elles. Les vrais amis sont rare, souvent on se trompe, mais quand on en trouve des vrais, qui nous font du bien et en qui on a confiance, on remercie la vie.
Pour en revenir aux menteurs, je ne les raye pas de ma vie, j'essaie de les comprendre mais je sais qu'un jour ou l'autre ils disparaîtront. Il est impossible d'avoir une relation vraie avec un menteur. Pour les définir, il y a les menteurs qui nous veulent du mal mais qui se disent vos amis. Ceux-là, je m'en tient loin. Il y a aussi les menteurs compulsifs. Ceux qui ne s'assument pas et qui n'avoueront jamais un mensonge. Ceux-là me dérangent moins. Ils ne peuvent pas être trop près de moi car je déteste qu'on me mente, surtout lorsque l'évidence saute aux yeux. Mais j'avoue que je peux les voir de temps en temps. Pourquoi? Tout simplement parce que ce ne sont pas de mauvaises personnes. C'est tout simplement des personnes qui n'ont pas confiance en elles et je sais ce que c'est, j'ai déjà passé par là. Par contre, j'ai de la difficulté à comprendre ce qui les pousse à continuer à mentir sans arrêt. C'est pour ces personnes une seconde nature. Je trouve ça triste. Je ne les méprise pas mais je sais que c'est extrêmement difficile d'avoir une relation vraie avec elles. J'espère pour chacune d'entres elles qu'elles ont au moins une personne à qui elles disent toute la vérité, parce que sinon, elles doivent se sentir très seules. J'ai quelques personnes comme ça autour de moi. Des personnes que j'aime bien mais que je ne peux voir souvent. J'ai toujours l'impression qu'elles me prennent pour une conne, sentiment très néfaste. Mais je ne peux exiger d'elles ce que j'exige de moi-même. Si ça me fait trop de mal, je m'éloigne. Si ça ne me fait rien, ce ne sont que des connaissances.
Je ne vous ai pas parler des petits menteurs. Ceux qui dise qu'ils ont arrêté de fumer alors qu'ils fument en cachette. Je fais partie de ces gens. J'ai honte de dire que je vais manger seule au Mc Do car j'ai extrêmement envie de manger un Big Mac. Je peux citer plusieurs exemples comme ça qui sont en fait des mensonges plutôt sympathique et qui n'enlèvent en rien la confiance qu'on peut avoir pour ces personnes.
Pour conclure, je suis en désaccord avec les philosophes qui disent que le mensonge est un mal nécessaire. Le mensonge fait mal lorsqu'il est découvert. C'est une trahison. La trahison fait mal. Je suis de ces personnes qui croient que la vérité est nécessaire au bien-être. Il y a de ces vérités qui font mal. Par contre, il n'y a rien qui fait plus mal qu'un mensonge découvert.
Je dois d'abord vous avouer quelque chose. Je suis la pire des menteuses. En fait, je l'étais, il y a quelques années. Pourquoi je l'étais? Je me mentais à moi-même sur ce que j'étais. Je m'étais inventé un personnage et j'y croyais. Par le fait même, je mentais aux autres. Bien sûr, c'était inconscient. C'était ma façon à moi de m'adapter à la société. Pourtant, je prônais la vérité. Je n'étais pas consciente de la fausse vie dans laquelle je vivais. Je n'étais pas consciente que je jouais un personnage. Ce personnage, je le jouais tellement bien que j'y croyais. Jusqu'au jour où je me suis réveillé. Cet éveil a été extrêmement difficile. Vivre dans le mensonge est tellement facile en fait. Le faux semble souvent plus réel que la vérité elle-même. Le jour où je me suis réveillé, j'ai commencé à découvrir qui j'étais. Je me suis aperçue que j'étais plus intéressante et vivante que je le croyais. Depuis, j'ai appris à me découvrir, à me connaître, et j'ai trouvé de très belles choses en moi. J'en ai aussi trouvé de très vilaines. Par contre, ce que j'ai découvert de moi, c'est que j'existe. Je suis un être réel. Je vis dans ce monde et j'en fais parti. Bizarrement, j'ai maintenant plus de facilité à vivre dans ce monde. En sachant qui je suis et sachant aussi quelles sont mes faiblesses, il m'est plus facile de vivre en société. Je m'assume telle que je suis et au lieu de m'adapter à la société, j'adapte la société à moi. C'est-à-dire que je prends ce qui me va et je laisse ce qui ne me va pas. C'est un grand pas en avant car je ne me bute plus sur ce qui ne fonctionne pas. Résultat, la vie s'ouvre à moi. J'en vois la beauté et il m'est soudainement plus facile de vivre.
Par contre, j'ai découvert un défaut extrêmement grave. J'exige des autres la même chose que j'exige de moi-même. Je sais, je dois corriger ce défaut car il est très difficile à vivre. Cependant, je m'adapte à ce défaut en ne me mettant pas dans des situations où les autres pourraient me décevoir. Savoir s'entourer des bonnes personnes. Je disais hier à un de mes amis que la relation d'amitié que j'ai avec lui est plus importante que n'importe quelle relation avec n'importe quel amant ou amoureux, car lui, je suis certaine qu'il va rester dans ma vie. Les amis, la famille, il n'y a que ça de vrai. Pour moi du moins. On se confie à ces gens. On est dans la vérité car ils nous connaissent bien. J'ai des amies qui sont dans ma vie depuis 25-30 ans. Que je les vois souvent ou rarement, je sais qu'elles seront toujours-là et je serai toujours là pour elles. Les vrais amis sont rare, souvent on se trompe, mais quand on en trouve des vrais, qui nous font du bien et en qui on a confiance, on remercie la vie.
Pour en revenir aux menteurs, je ne les raye pas de ma vie, j'essaie de les comprendre mais je sais qu'un jour ou l'autre ils disparaîtront. Il est impossible d'avoir une relation vraie avec un menteur. Pour les définir, il y a les menteurs qui nous veulent du mal mais qui se disent vos amis. Ceux-là, je m'en tient loin. Il y a aussi les menteurs compulsifs. Ceux qui ne s'assument pas et qui n'avoueront jamais un mensonge. Ceux-là me dérangent moins. Ils ne peuvent pas être trop près de moi car je déteste qu'on me mente, surtout lorsque l'évidence saute aux yeux. Mais j'avoue que je peux les voir de temps en temps. Pourquoi? Tout simplement parce que ce ne sont pas de mauvaises personnes. C'est tout simplement des personnes qui n'ont pas confiance en elles et je sais ce que c'est, j'ai déjà passé par là. Par contre, j'ai de la difficulté à comprendre ce qui les pousse à continuer à mentir sans arrêt. C'est pour ces personnes une seconde nature. Je trouve ça triste. Je ne les méprise pas mais je sais que c'est extrêmement difficile d'avoir une relation vraie avec elles. J'espère pour chacune d'entres elles qu'elles ont au moins une personne à qui elles disent toute la vérité, parce que sinon, elles doivent se sentir très seules. J'ai quelques personnes comme ça autour de moi. Des personnes que j'aime bien mais que je ne peux voir souvent. J'ai toujours l'impression qu'elles me prennent pour une conne, sentiment très néfaste. Mais je ne peux exiger d'elles ce que j'exige de moi-même. Si ça me fait trop de mal, je m'éloigne. Si ça ne me fait rien, ce ne sont que des connaissances.
Je ne vous ai pas parler des petits menteurs. Ceux qui dise qu'ils ont arrêté de fumer alors qu'ils fument en cachette. Je fais partie de ces gens. J'ai honte de dire que je vais manger seule au Mc Do car j'ai extrêmement envie de manger un Big Mac. Je peux citer plusieurs exemples comme ça qui sont en fait des mensonges plutôt sympathique et qui n'enlèvent en rien la confiance qu'on peut avoir pour ces personnes.
Pour conclure, je suis en désaccord avec les philosophes qui disent que le mensonge est un mal nécessaire. Le mensonge fait mal lorsqu'il est découvert. C'est une trahison. La trahison fait mal. Je suis de ces personnes qui croient que la vérité est nécessaire au bien-être. Il y a de ces vérités qui font mal. Par contre, il n'y a rien qui fait plus mal qu'un mensonge découvert.
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